Chevalière réalisée en mémoire des Croisés Nordiques surmontée de la Croix de Jerusalem et de liens celtico-vikings latéraux.
Les Scandinaves furent de précieux alliés de Godefroy et il était tout naturel qu'un modèle leur soit dédié chez moi.
Harald de Norvège, tu as bien mérité ce fragment de la croix qui te fut offerte en marque de gratitude par le patriarche de Jérusalem.
Croix de l'Ordre Équestre du Saint-Sépulcre
Étendard du château de Bouillon d’où partit l’illustre Godefroid de Bouillon en 1096 pour changer le cours de l’Histoire, cette chevalière se porte en hommage à son courage, avec respect pour sa détermination exceptionnelle guidée par de sincères convictions qui lui firent refuser le trône de Jérusalem, refusant de porter une couronne d’or où le Christ avait porté une couronne d’épines.
Avoué du Saint-Sépulcre, Godefroid de Bouillon mérite l’inclination de chaque homme libre de Terre Chrétienne.
Elle est composée d'une grande croix grecque cantonnée de 4 petites croix, également grecques, symbole des quatre Évangiles ou des quatre directions vers lesquelles la parole du Christ s'est répandue à partir de Jérusalem.
C'est la Passion du Christ qui a poussé la Custodie franciscaine à adopter cette Croix. En effet, pour beaucoup, le nombre des croix (quatre petites et une grande) symbolise les cinq blessures du Christ sur la Croix.
Selon la tradition, le blason de Jérusalem (d'argent, à la croix potencée d'or, cantonnée de quatre croisettes du même) contrevient volontairement aux règles héraldiques, pour mieux marquer le prestige tout particulier de cette ville. En effet, la science héraldique interdit de superposer deux métaux. Dans ce cas, les croix d'or sont superposées au fond d'argent.
