Véritables plaques militaires dites

Véritables plaques militaires dites "Dog Tags" en argent 925 rhodié - NEW 2022

Prix applicable €109.00 Soldé

 

Bijou emblématique du monde opérationnel qui a une histoire, Templar Soul est ravie de vous proposer un modèle hautement qualitatif, en argent rhodié d'or blanc et fidèle aux dimensions officielles, complexe à trouver vu que les reproductions sont en général en inox et en provenance de Chine. 

Ici encore, Templar Soul souhaite faire la différence.

La plaque d'identité militaire (nom officieux en anglais : Dog tag) est un élément de l'uniforme qui fournit l'identité de celui qui la porte, dans le cas où les circonstances de sa mort (défiguration, disparition de ses camarades, etc.) compromettraient la certitude de son identification.

Ce n’est que durant la deuxième moitié du XIXème siècle que l'on s'est préoccupé de trouver un moyen d’identifier systématiquement les morts sur les champs de bataille. Les premières initiatives ne sont pas venues des militaires mais des civils (aux États-Unis, par exemple, durant la Guerre de Sécession, 1861-1865).

Du côté allemand, il semblerait que l’idée de doter les soldats d’un moyen d’identification viendrait d’un artisan de Berlin qui aurait proposé au Ministère de la Guerre d’équiper ses hommes d’une plaque d’identité, reprenant plus ou moins l’exemple de la « plaque des chiens » (une sorte de timbre fiscal prouvant que le maître de l’animal avait bien payé la taxe). Les plaques d’identité furent par la suite appelées « dog tags » dans le jargon militaire. En français, cela se traduit par « plaque de chien » en raison de leur ressemblance à des médailles pour chiens.

Le port des dog tags est exigé à tout moment par les soldats sur le terrain. La plaque est toujours constituée en deux parties. Une, amovible, est facilement récupérable (brisure) par une tierce personne sur le soldat décédé. Elle porte des informations permettant à l’office compétent d'établir un bilan des pertes même, au cas où le corps n'aurait pu être récupéré. La seconde partie demeure, en principe, en permanence avec la dépouille. L'objet est ainsi inhumé avec le corps ; éventuellement cloué à même le cercueil. La plaque matricule contient les informations nécessaires au service de gestion des corps (nom, religion, date de naissance).